Le Physioscan
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Le Physioscan



Le Physioscan a bénéficié de la recherche aérospatiale russe où, depuis plus de 20 ans, des scientifiques utilisent l’électromagnétisme pour réaliser des bilans et des rééquilibrages énergétiques.



De véritables bilans énergétiques peuvent désormais être réalisés selon des techniques de «thérapie quantique», développées par des ingénieurs et médecins russes pour les besoins de la conquête spatiale. Le but du développement de ce type de technologies est de contribuer à soutenir le corps dans sa capacité à s’autoguérir et à tendre vers l’homéostasie. Bref historique C’est le chercheur-trouveur, Nicolas Tesla [1856–1943], véritable génie en électronique, qui réalisa les fondements du générateur quantique non linéaire utilisé par la technologie du Physioscan. Ses travaux furent poursuivis par le chercheur G. Lakhovsky, qui étudia l’influence des fréquences radio sur les animaux et plantes et mis au point le «radio-cellulo-oscillateur». Plus tard, l’américain R. Rife mesura l’influence des fréquences électromagnétiques sur le «champ biologique» humain. Vers 1950, l’allemand R. Voll, développa des méthodes pour mesurer l’énergie des points d’acupuncture. Il mesura en particulier le potentiel électrique de «points biologiquement actifs» qui reflètent le degré fonctionnel d’un organe. En 1970, le Dr F. Morell développe l’appareil «MORA» qui utilise des signaux électriques inversés pour restaurer les fonctions cellulaires. On pourrait dire que le Physioscan est une version beaucoup plus élaborée de la fameuse MORA-thérapie. En 1988, Vladimir Nestorov conçoit l’idée d’un scanner non linéaire permettant d’effectuer un bilan sur le corps humain en exploitant la théorie de la logique quantique entropique. Cette théorie postule que l’intensité de l’échange d’information entre deux systèmes augmente dès lors qu’il existe une destruction de l’ordre dans l’un de ces systèmes. Toujours en 1988, le chercheur français J. Benveniste et le professeur britannique S. Smith démontrèrent que l’eau possède une mémoire à l’intérieur de sa propre structure. Ce potentiel est mis à contribution dans une des fonctions du Physioscan qui permet d’emmagasiner des fréquences dans l’eau, de l’alcool ou dans une solution glucosée qui sera ensuite administrée au patient. La technologie choisit les fréquences adéquates pour chaque patient afin d’aider son corps à se guérir sans aucun effet secondaire. Entre 1990 et 2000, des prototypes sont développés et validés en clinique. Un brevet est déposé en 2003 aux USA et des appareils sont développés pour les médecins et les thérapeutes. Principe & fonctionnement Le Physioscan est un décodeur-analyseur qui détaille l’énergie des tissus et organes du corps. Il s’agit d’une technologie de «bilan global de santé» la plus avancée qui soit actuellement disponible en ce début de 21ème siècle. Le Physioscan effectue l’analyse spectrale des vortex de champs magnétiques dans le tissu vivant. Basé sur un biofeedback de l’information cellulaire, l’appareil détaille l’énergie de 280 cibles corporelles [cellules, tissus, organes, systèmes ostéoarticulaire, nerveux, circulatoire, respiratoire, digestif, etc…], puis il objective l’ensemble sur une image. Chaque organe et chaque cellule ont leurs propres spectres de fréquences, lesquels sont stockés dans la mémoire de l’ordinateur et peuvent être affichés à l’écran sous forme d’un graphique qui présente les conditions de l’information échangée entre l’organe et son environnement. Cette représentation graphique de l’organe ou des tissus recense des symboles colorés [échelle de 1 à 6] qui montrent le degré de tension et l’endroit précis du déséquilibre fonctionnel de l’organe L’interface fonctionne par l’intermédiaire de collecteurs magnétiques montés sur des écouteurs et d’un rayon soft-laser dirigés sur le front du patient. Le Physioscan est idéal pour mesurer le potentiel d’énergie d’un organe avant et immédiatement après une thérapie, telle que remèdes homéopathiques, acupuncture, chromostim, MIL-thérapie, etc... L’évaluation d’un organe ne prend que quelques secondes. Grâce au Physioscan, les maladies en cours de développement, dites «potentielles », peuvent être détectées avant même l’apparition des symptômes ! De même, il est également possible d’analyser la réaction du corps à différents types de traitements. Le Physioscan permet ainsi de tester plus de 2.000 spécialités contenues dans sa base de données [phyto, homéo, …]. De plus, une chambre de résonance est fournie avec l’appareil afin de tester n’importe quelle substance choisie [échantillons]. En final, une analyse comparative est réalisée afin de déterminer les meilleurs produits testés. Ses applications Le traitement mis en oeuvre par le Physioscan ne remplace en aucun cas un traitement médical prescrit par le médecin. Ses domaines d’application sont aussi nombreux que les spécialités médicales [cardiologie, pneumologie, traumatologie, gastro-entérologie, gynécologie, urologie, stomatologie, dermatologie, ophtalmologie, neurologie, rhumatologie, …], et de nombreuses statistiques médicales viennent confirmer l’efficacité des traitements et valider les résultats obtenus. Rééquilibrage énergétique Il est important de souligner que ce système ne nécessite pas l’application de grandes quantités d’énergie, mais seulement l’émission par rayonnement de très faibles énergies et de faibles champs magnétiques. Celles-ci ne sont pas perçus par le patient sur le plan sensoriel. Ce n’est donc pas un courant d’excitation ou d’inhibition que l’on applique à l’organisme, mais un «faible signal», porteur d’un certain type d’information énergétique. Par conséquent, le Physioscan agit exclusivement au niveau informationnel des molécules et de la cellule, puis par réactions en chaîne interagit sur le tissu vivant et l’organisme tout entier. Par la simplicité de son utilisation et l’étendue de son spectre d’action, le Physioscan s’adresse à tous les praticiens de santé, tant en médecine classique que dans les médecines alternatives, ainsi que les ostéopathes, naturopathes, bio-thérapeutes, praticiens en médecine traditionnelle chinoise et en diverses thérapies énergétiques.



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