20 pistes pour le monde… d’aujourd’hui !
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20 pistes pour le monde… d’aujourd’hui !



Les grands défis auxquels doit faire face l’Humanité sont quasi tous d'origine humaine. C’est une bonne nouvelle. Car cela signifie que nous pouvons défaire les noeuds que nous avons nous-mêmes générés ! A l’occasion des 20 ans d’AGENDA Plus, nous proposons 20 pistes pour changer la donne et nous engager dès maintenant à améliorer le monde, pour la part qui est la nôtre.



Albert Einstein disait, à juste titre : « On ne peut résoudre nos problèmes avec le même niveau de pensée que celui qui les a créés ». Il est donc inutile de commencer à penser le monde de demain avec les solutions d’hier. Regardons autour de nous : cela ne marche pas. Il faut arrêter de compter sur les dirigeants, les progrès des sciences et des techniques pour trouver des solutions. En fait, quand on y regarde de plus près, le progrès contribue parfois plus à amplifier les grands défis actuels qu’il n’aide à les résoudre… Dès lors, que faire pour vivre un monde plus juste et équilibré ? Quelles actions poser pour améliorer les choses de façon significative ? Si l’on veut que les choses s’améliorent réellement, à l’échelle de la planète, il faut apprendre à penser différemment (dixit Einstein) et envisager un processus prenant en compte divers niveaux d’actions. L’idée ? Toucher simultanément les différentes strates de l’humanité en proposant des pistes d’actions globales (planétaires, nationales), locales (régionales, communales, de quartier), domestiques (ultra-locales) et, surtout, intérieures. En réalité, tout part de l’individu. « Le monde » n’est pas une entité autonome extérieure à nous. Ce n’est donc pas « le monde » qui doit changer, mais bien nous. Il est essentiel de réaliser que rien à l’extérieur de nous ne doit changer ou plutôt que c’est notre changement intérieur qui génère les changements extérieurs attendus.

- Pistes globales -


1. Demandons la réforme du système, en commençant par l’éducation

Osons questionner le système et remettre en cause sa logique matérialiste basée sur le profit. Il est clair qu’il doit être réformé d'urgence et pour cela, les jeunes — les adultes de demain — doivent pouvoir donner leur avis aujourd’hui. Des référendums pourraient être organisés pour mettre en place un système plus efficace. De même, les apprentissages pourraient mieux s'adapter aux nouvelles générations ultra-connectées. Le système finnois a fait ses preuves en termes d'efficacité et il repose sur un enseignement dans la continuité et sans examens. Il n'y a plus aucun stress lié aux résultats. Les jeunes apprennent — tout simplement.
L'enseignement secondaire devrait aussi prévoir plus d'options où les jeunes peuvent bouger, apprendre de manière ludique, sortir de l'école. Un après-midi par semaine pourrait être consacré à la nature ou au bénévolat afin de former des citoyens responsables et sensibilisés aux causes environnementales et humaines. La vie s'apprend en dehors de l'école et tant de jeunes se sentent inadaptés car on ne leur a pas enseigné ce qu’était la (vraie) Vie !

2. Votons en conscience et exigeons la parité dans les gouvernements

Quelles que soient les couleurs des partis, choisissons ceux qui résonnent avec nos valeurs et osons questionner et faire évoluer leurs programmes. Et pour les plus motivés, si aucun parti ne répond à vos attentes : pourquoi ne pas créer le vôtre ?

Conjointement, comme le principe féminin est essentiel à la vie, celui-ci doit être mieux représenté au niveau des gouvernances.
Evidemment, pour que les femmes participent à la vie politique, elles devraient être élues de manière égale. Et, bien que la parité existe au niveau des listes électorales, il faudrait qu’elle soit également appliquée au niveau des résultats : autant d'élus pour chaque genre ! De manière alternée, le premier ministre ou président pourrait ainsi être tantôt une femme, tantôt un homme. Idem pour les bourgmestres des communes.

3. Exprimons nos valeurs par nos achats<

Il est possible de faire en sorte que notre portefeuille suive nos convictions : acheter, c’est voter ! Évitons les grandes marques des multinationales et favorisons le bio-local-desaison et le commerce équitable afin qu’ils deviennent la norme. C’est aussi simple que cela. Quand une entreprise fait des choix qui ont une mauvaise influence sur l’environnement, les animaux ou les individus, arrêtons d'acheter leurs produits.

Par ailleurs, n’hésitons pas à contacter les sociétés commerciales pour les informer de nos opinions. Certaines entreprises se soucient vraiment de ce que veulent leurs clients. Elles ne sauront jamais ce qu’il y a à changer si personne ne le leur dit. Et puis, là encore, autant favoriser les sociétés qui sont à l’écoute des consommateurs.

4. Donnons aux associations et oeuvres caritatives appropriées

Si nous voulons aider les citoyens de la Terre, il est important de donner notre temps ou des ressources financières à des associations, mouvements et réseaux qui leur procurent l'aide dont ils ont besoin. Sortons de notre bulle et trouvons des oeuvres caritatives internationales qui créent des conditions durables et font le bien autour d'elles dans des zones où cela est nécessaire. Bref, que nos ressources locales puissent aussi contribuer au bien-être global.

5. Investissons solidairement

Parfois, tout ce dont un pays du tiers-monde ou une communauté défavorisée a besoin est une petite chance de voir son économie s'épanouir. Nous pouvons aider ces citoyens du monde à s'aider eux-mêmes en leur prêtant de petites sommes d'argent. Cela signifie que nous allons récupérer notre argent et qu'un petit artisan ou une micro-entreprise va obtenir ce dont il/elle a besoin pour contribuer à l'économie locale. Nous pouvons par exemple nous renseigner sur kiva.org, une association qui fait de petits prêts aux personnes qui vivent dans des zones défavorisées. C’est aussi une excellente façon d’aider les femmes et d'autres groupes plus vulnérables à s'aider eux-mêmes.

Évitons également d’acheter à crédit ! N’empruntons plus d’argent aux banques (ou alors à des organismes transparents comme la Banque Triodos) et remboursons nos dettes aussi vite que possible afin de faire diminuer le pouvoir que les banques ont sur notre économie et nos vies.

6. Défendons la cause animale partout dans le monde

En tant que forme de vie dominante sur cette planète, il est de notre devoir de protéger les créatures qui ne peuvent pas se protéger elles-mêmes. À cause de la façon dont nous vivons actuellement, de nombreux animaux souffrent et sont même en voie d'extinction. Si la cause animale résonne en nous, il existe de nombreuses façons pour l’améliorer :
• encourager les législations qui aident à protéger les animaux ;
• ne plus acheter de produits issus de marques qui utilisent des techniques de maltraitance sur les animaux (taper dans un moteur de recherche solidaire1 : « liste noire des marques qui testent sur les animaux ») ;
• soutenons par notre temps et/ou des dons les associations qui aident la cause animale, par exemple la SPA, Gaïa ou encore Greenpeace.

7. Engageons-nous à faire du bénévolat

Le bénévolat ou volontariat est une excellente façon d'améliorer le monde qui nous entoure au niveau local. Si nous avons certaines compétences ou si sous voulons en apprendre, nous pouvons devenir bénévoles dans une association pour faire le bien autour de nous : aidons les enfants défavorisés à faire leurs devoirs ; donnons un coup de main aux « Restos du Coeur » ; offrons notre temps à une association de protection de l’environnement ; participons au « Nettoyage de Printemps » organisé par notre Commune, etc. (idées sur levolontariat.be).

8. Réduisons notre impact sur l’environnement

Nous pouvons aussi rendre le monde meilleur en prenant soin de notre environnement local (jardin, rue, quartier, commune, …) et ainsi aider à préserver la planète pour les générations à venir. Par exemple : en réduisant notre utilisation d'énergies fossiles qui ont un impact très négatif sur notre environnement, en prenant les transports en commun, en utilisant un vélo ou un véhicule électrique ou encore en achetant des produits issus de circuits courts. Il est indispensable d’économiser l'énergie autant que possible, car une consommation moindre entraine une production moindre. Éteignons les lumières en notre absence et notre ordinateur lorsque nous ne l'utilisons pas, prenons des douches courtes, installons des ampoules qui économisent l'électricité, etc. Il existe de nombreuses façons d’économiser l'énergie (taper dans un moteur de recherche solidaire1 : « 100 conseils pour économiser l'énergie – IBGE » pour faire le plein d’idées !)



9. Participons à notre communauté locale

Prenons soin de l'endroit où nous habitons et de ses alentours. Que notre présence puisse rayonner par mille petits gestes, attentions et contributions locales. Nous pouvons aussi lâcher la bride à notre imagination pour améliorer la vie locale et créer du lien :
• planter des arbres et des fleurs en entretenant les trottoirs et les espaces verts ;
• ne rien jeter par terre et, mieux, ramasser (sans râler !) les ordures que nous trouvons ;
• initier des bacs de « Nourriture à partager » ou rejoindre un groupe qui propose ce type de projet (infos sur incredibleediblebelgium. wordpress.com) ;
• lancer ou rejoindre une initiative de transition (infos sur reseautransition.be ou entransition. be) ;
• créer une fête des voisins ou une fête de quartier (infos sur lafetedesvoisins.be).

Pistes domestiques


10. En route vers le « zéro déchet » (autant viser haut, non ?)

Trop d’emballages, trop de produits jetables, trop de ressources gaspillées et de pollution. En route vers le zéro déchet ! Comment ? En 5 mots : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler, Composter.
Refuser (tout ce dont nous n’avons pas besoin) : ne laissons plus les produits éphémères entrer chez nous, tels que les articles jetables en plastique, les imprimés publicitaires ou les emballages superflus. Pour s’approvisionner, privilégions les articles en vrac ou choisissons des produits faits à partir de ressources compostables et renouvelables, emballés dans des récipients recyclables en verre, métal, papier ou autres fibres naturelles.
Réduire (ce dont nous avons besoin) : évaluons notre consommation et débarrassons-nous de ce qui n’est pas nécessaire, déterminons nos besoins réels et restreignons consciemment notre consommation. Pour cela, on peut faire l’inventaire de ses biens en s’auto-questionnant : est-ce que je l’utilise régulièrement ? En ai-je plusieurs ? Est-ce que je le garde parce que tout le monde en à un ? Est-ce qu’un autre objet pourrait remplir la même fonction ? Pourrais-je consacrer cet espace à autre chose ? etc.
Réutiliser (au maximum) : utilisons des contenants réutilisables et des sacs en tissu pour faire nos courses et privilégions des produits rechargeables. Orientons-nous vers des produits durables et de qualité et réparons ce qui est cassé plutôt que de jeter et racheter. Participons à la consommation collaborative en donnant, prêtant, louant, revendant, troquant ou achetant d’occasion et s’amuser à faire les choses soi-même — bref, devenons créatifs !
Recycler (tout ce qui peut l’être) : c’est bien d’acheter des produits recyclables, encore faut-il penser à les recycler ! Le recyclage dépend de nombreux facteurs qui vont bien plus loin que notre simple acte de trier : qu’estce qui se recycle au juste ? Comment sont réutilisées ces matières recyclées, etc. Renseignons- nous !
Composter (à peu près tout le reste) : les matières organiques telles que les épluchures de légumes, les restes de repas, mais aussi les feuilles mortes, les mouchoirs, les cotons tiges (en bois), les ongles, les cheveux, etc. peuvent se composter ! En revanche, il est important de se renseigner sur l’art du bon compostage (infos sur compostage.info). Si on n’a pas de jardin, la meilleure option est le lombricompostage, une caisse avec des vers qui transforment nos déchets en compost, sans aucune odeur (infos sur ecoconso.be/fr/Le-vermicompostage).

11. Végétalisons notre alimentation

Une étude parue en 2014 dans la revue « Nature » conclut que seul le régime végétarien permettait à l’horizon 2050 de réduire significativement les émissions de gaz à effet de serre : un demi-milliard de tonnes de CO2 par an (contre près de deux milliards de tonnes EN PLUS sans modification du régime alimentaire occidental actuel).
C’est donc prouvé, nous n’aidons pas seulement la cause animale en devenant végétarien, nous réduisons activement les émissions de CO2, tout en ayant une action positive sur notre santé (réduction des risques de cancer, d'obésité et de maladies cardio-vasculaires).
L’augmentation de la consommation de produits non carnés et biologiques obligerait à réorienter une grande partie de la production alimentaire vers des modes de production plus sains et limiterait les impacts négatifs sur le climat.



12. Soignons-nous naturellement

Avec un chiffre d’affaires de près de 3 milliards d’euros par jour (plus de 1.000 milliards par an !), l’industrie pharmaceutique souhaitet- elle vraiment que les citoyens du monde soient en bonne santé ? La réponse est non. Le problème est que la médecine est prisonnière du lobby de l’industrie pharmaceutique. En effet, « Big Pharma » finance à elle seule l’OMS à un niveau plus élevé que les 194 pays qui y adhèrent ! Elle finance la formation continue des médecins après l’obtention de leur diplôme, les agences nationales sensées vérifier l’efficacité des médicaments (et l’absence d’effets secondaires graves), les universités et les revues médicales, … Tout est dit. Même si une opération chirurgicale, un traitement ou une médication classique permettent bien évidemment de sauvegarder des vies, les causes profondes des dysfonctionnements persistent souvent. Si l’on ne change rien en nous et à notre hygiène de vie, un autre dysfonctionnement surgira ailleurs tôt ou tard.
Ce dont notre corps a besoin pour se soigner naturellement : une eau et un air de qualité, une alimentation saine et parfaitement adaptée à notre physiologie, du repos, de la lumière, du mouvement, du contact avec la nature et avec les autres.
Et si, malgré tout, notre corps exprime un déséquilibre, tournons-nous vers les pratiques naturelles de santé et les médecines douces avant de nous tourner vers « Big Pharma » !

13. Commençons un potager

Comme l’exprime judicieusement Pierre Rabhi : « cultiver son jardin est un acte politique ». En cultivant notre jardin, nous nous affranchissons de l’industrie agroalimentaire. En devenant plus autonomes, nous investissons dans notre capital santé, nous consommons moins de ressources extérieures, nous nous reconnectons à la nature et nous pouvons alors nous rappeler que nous avons toujours fait partie d’elle, qu’elle vit en nous et que nous vivons en elle.

Vous n’avez pas de jardin ? Pas de souci ! Rejoignez un potager collectif ou trouvez un jardin en partage proche de chez vous (infos sur potagersurbains.be, pretersonjardin.be, coinsdeterre. be, asblrcr.be ou plantezcheznous.com)

14. Arrêtons de fumer

En fumant, nous donnons une grande partie de notre argent à une des pires industries que la planète ait jamais connue, nous polluons le monde, nous détruisons notre corps et nous empoisonnons notre entourage. Soyons cohérents et ne remettons plus la décision à plus tard ! (Besoin d’aide ? Infos sur tabacstop.be, aideauxfumeurs.be & vivresanstabac.be)

15. Débarrassons-nous de notre addiction à la télé

D’après plusieurs sondages, nous passons en moyenne entre 3h30 par jour devant la télé, soit plus de 50 jours (et nuits) par an ! Cela peut paraître extrême, mais la télévision est l’outil de prédilection des dirigeants de la « société du divertissement » car elle permet de contrôler une partie des masses, elle pervertit l’esprit, nous endort et nous hypnotise. Osons faire le pas de nous débarrasser de notre télé ou au moins de notre addiction à elle. Des films, des séries et d’ excellents documentaires sont disponibles sur le net sans les interruptions publicitaires.

Pistes intérieures


16. Soyons gentils (et vrais !)

Parfois, nous sommes tellement pris par le rythme quotidien ou par notre envie d’améliorer le monde que nous oublions qu'il existe de nombreuses choses que nous pouvons modifier chez nous, dans notre attitude intérieure, afin de créer un impact positif à l’extérieur de nous. Une des choses les plus simples que nous pouvons mettre en oeuvre dès maintenant est de traiter les autres de la façon dont nous voudrions qu'ils nous traitent. Un sourire authentique, une aide spontanée, une petite attention,… mille gentillesses à offrir sans réserve, sans calcul ni profit, juste pour la joie de donner. Lorsque les énergies de bonté, de gentillesse, de douceur circulent, tout est plus fluide et léger, la convivialité augmente et se répand par contagion positive !



17. Arrêtons les jugements

Juger est un réflexe d’auto-protection. Apprenons à devenir tolérant avec les autres comme avec nous-mêmes. Le monde n’est pas blanc ou noir, apprenons à en apprécier toutes les nuances. Donnons-nous l’opportunité de changer régulièrement d’avis, d’évoluer et de respecter ceux qui font des choix différents. Apprenons à connaître avant de rejeter en bloc. Remettons en question nos croyances (et si l’autre avait raison ?).
Selon Marshall B. Rosenberg : « Les jugements portés sur autrui sont des expressions détournées de nos propres besoins inassouvis. » Ainsi, on juge souvent par jalousie ou par frustration. Donc recherchons ces besoins inassouvis en nous et nourrissons-les.
Astuce « 180° » : à chaque fois que nous prenons conscience d’un jugement, remplaçonsle par de la gratitude et observons les surprenants effets :-)

18. Soyons positifs et optimistes

L’optimisme est un état d’esprit qui perçoit le monde et l'univers de manière positive. Cela ne signifie pas qu’il faille se voiler la face et se répéter en boucle que tout va bien, mais de développer une vision positive sur le présent et l’avenir. C’est choisir délibérément de voir le « verre à moitié plein », c’est développer la capacité à imaginer qu’il y aura toujours des sentiments, des comportements, des expériences positives à vivre en abondance. C’est non seulement une attitude intérieure bénéfique pour la santé mentale, émotionnelle et physique, mais c’est surtout une attitude positive particulièrement contagieuse et bénéfique pour le monde. (Infos sur liguedesoptimistes.be)

19. Devenons plus altruistes

Il existe de nombreuses opportunités pour aider les autres de façon désintéressée. Très souvent, nous ne saisissons pas cette chance parce que nous pensons être trop occupés ou trouvons l’excuse que quelqu'un d'autre s’en occupera. Si nous voulons améliorer le monde autour de nous, commençons par développer une attitude plus altruiste et osons faire ce petit pas pour l’homme qui peut se révéler un grand pas pour l’humanité ! D’après le moine bouddhiste français Matthieu Ricard, l’être humain serait naturellement prédisposé à l’altruisme, l’effort pour s’y mettre serait donc minime.

20. Nourrissons notre intériorité et montrons l’exemple

En osant ralentir notre rythme, en nous accordant du temps pour nourrir notre intériorité et réaliser notre Être véritable, non seulement nous nous faisons le plus beau des cadeaux, mais nous offrons au monde un peu plus de conscience et de lumière — telle une action invisible rayonnant en toutes directions et oeuvrant en silence. Cet exemple touchera notre famille, nos amis, nos proches et une multitude de petites transformations se feront naturellement.

Ces 20 pistes sont loin d’être exclusives et exhaustives. Pour un monde meilleur, il y a sans doute quantité d’autres choses utiles à faire. Et chacune d’entre elles mériterait sans doute un article entier et une exploration plus profonde. Ces quelques initiatives parmi d’autres ont l’avantage de pouvoir être mises en oeuvre dans l’immédiat. Ce sont des propositions pour celles et ceux qui ont envie de cultiver un jardin des possibles aux dimensions de leur Coeur et de leur Humanité.

Et vous, quels seraient vos pistes pour vous changer vous-même et améliorer le monde dès aujourd’hui ?

Olivier Desurmont

1 moteurs de recherche solidaires conseillés : Ecosia (écologique) • GoodSearch (humanitaire) • Lilo (solidaire, écologique)

. RESSOURCES :
• fr.wikihow.com/rendre-le-monde-meilleur
• humanismepur.free.fr
• ploum.net/10-conseils-pourchanger- le-monde
• pour-un-monde-meilleur.com
• bettybatoul.com/pages/suggestions-pour-un-monde-meilleur. html
• sechangersoi.be
• planetaddict.com/zero-dechet-bea-johnson
• pleinpotentieldevie.com



Paru dans l'Agenda Plus N° 280 de Septembre 2016
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