Faire l'amour divinement...
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Faire l'amour divinement...



N’y aurait-il pas encore des facettes de l’amour qui resteraient quelque peu dans le mystère ? L’union intime des corps procède d’une magie sacrée pas toujours aisée à décoder ou à créer. En avant pour un voyage sous un autre regard au pays sacré de l’Eros…
Notre humanité partage avec les dauphins, notamment, que l’acte sexuel n’a pas pour unique vocation la reproduction. N’est-ce pas merveilleux, pour notre plus grand plaisir, toutefois lorsque ceci est réellement vécu comme merveilleux…



Quiconque a déjà eu l’honneur de recevoir des témoignages intimes de femmes et d’hommes à propos de leur vécu de leur sexualité aura vite compris que l’harmonie et le plaisir sont loin d’être généralisés. Le langage courant nous transmet d’ailleurs qu’il y a des « bons » et des « mauvais coups ». Que certains nous font grimper au plafond, d’autres nous donnent le sentiment d’être sali(e), ou que d’autres encore préfèrent le moment de la cigarette de l’après ou pendant.
En outre, il y a beaucoup de couples qui ont rénoncé à l’Eros – par manque d’harmonie ou par perte du désir – l’un suit souvent l’autre - se privant ainsi d’une facette importante de l’enracinement absolument nécessaire à notre ancrage.
Par ailleurs, la médecine sexuelle nous rapporte que les troubles sexuels (douleurs et/ou difficultés pendant les rapports, baisse du désir, troubles de l’érection, etc) sont des symptômes qui touchent aisément un tiers de la population.
Décidément, faire l’amour n’est pas aussi simple que dans les films – qui nous embrouillent d’illusions en nous montrant que les protagonistes s’accouplent toujours en trois minutes, atteignent l’orgasme ensemble en criant de plaisir ! Si vous vivez cette magie à chaque fois de la sorte, écrivez vos témoignages à la rédaction, nous les collationnerons dans un recueil intitulé « Amour parfait ».

Des serrures et des clefs…

L’énergie sexuelle, la libido, est une énergie puissante, qui circule plus ou moins bien chez chacun dans un canal appelé en sanscrit le « shushuna », situé entre les jambes du bas des pieds en longeant la colonne vertébrale jusqu’à s’élever vers la tête et vers des espaces plus subtils.
Chacun aura peut-être déjà ressenti que, lors d’une montée du désir, il y a comme de l’électricité dans la colonne vertébrale, dans les pieds, et que certains espaces du corps peuvent vibrer dirions-nous à 500 volts ou 10 000 volts, selon la nature de l’attirance entre les partenaires.

Chaque être humain possède plusieurs antennes de communication qui sont souvent bien activées lors de la rencontre des corps. Ce sont les centres d’énergie nommé « chakras », dont les principaux sont situés le long de la colonne vertébrale jusqu’au-dessus de la tête, en étant connecté au canal ou « shushuna ». S’y intéresser est loin d’être inutile, surtout en matière de plaisir, car leur force réside dans la nécessaire authenticité qu’ils vivent, émanant leur vécu audelà de nos mots, de nos gestes. Les chakras ne peuvent pas mentir !

Sur un plan métaphorique, on pourrait voir les chakras comme des clefs et des serrures, ou comme des « duplo », certains sont faits pour s’emboiter et d’autres pas. Les chakras sont des émetteurs-récepteurs qui traduisent très rapidement ce que ressent notre âme.

Ressentir, « le » mode de communication de l’intimité

Il n’est peut être pas totalement absurde de faire la distinction entre ressentir et imaginer. Ressentir c’est un langage qui demande du calme intérieur, de la disponibilité à soi-même et de se faire confiance dans cette forme de langage à la fois intuitive et rationnelle. Rien à voir avec le fait d’être happé par le mental ou l’émotionnel et de projeter toutes ses angoisses ou ses illusions en étant coupé de son ressenti…

Qu’est-ce que nos chakras peuvent bien capter et nous faire sentir ?

Par exemple, avec telle personne, le courant passe bien dans la communication (on peut partager plein de choses, y compris parler de la sexualité) et j’ai confiance en elle (le chakra du coeur vous témoigne que votre âme est confiante).
Ou, un tel m’attire physiquement (les chakras de la base et du hara s’attirent), mais je ne me sens pas trop en confiance, j’ai le sentiment qu’il n’est pas trop ici et qu’il a la tête ou le coeur ailleurs (le chakra du coeur coince un peu et exprime ce que votre âme vit).

Ou encore, qu’est-ce que l’on peut rire au lit, c’est un moment de fête (les chakras du plexus solaire sont en joie) et mon coeur peut s’abandonner en osant s’abandonner à la volupté (le chakra du coeur exprime la confiance dans le non-jugement de l’autre).
Toutes les combinaisons sont possibles. Plus les chakras des partenaires seront en harmonie, plus la fête de l’amour sera divine.

L’amour, une magie des âmes…

Pourquoi y-a t-il des personnes avec qui le courant passe et d’autres avec qui pas trop ou pas du tout ? Des personnes qui correspondent à vos critères et qui vous attirent ou au contraire pas du tout ?
Pourquoi y a t-il des personnes que vous rencontrez une heure et vous vivez la sensation de les connaître depuis 1000 ans ? D’autres par contre avec qui vous partagez cinq ans sans vraiment vivre de complicité ?
Ne serions-nous pas des âmes s’incarnant de multiples fois, nous retrouvant ci et là, dans divers rôles (parents, couples, amis, ennemis, collègues, juge, médecin, etc) ? Ainsi plusieurs traditions ésotériques et spirituelles nous éclairent avec la notion de karma. Il y a des âmes que nous retrouvons, avec qui le karma est léger, bénéfique, le courant passe. Elles sont précieuses comme des diamants. D’autres avec qui la relation est plus tendue, car une ardoise d’autres vies se rappelle à vous au moment de la rencontre. Y compris et surtout au moment de la rencontre des corps.
Ne dit-on pas que la plupart des rencontres amoureuses qui nous touchent le plus intimement ont un supplément d’âme ? Car retrouver une âme connue avec qui l’amour « Eros » s’est déjà exprimé, une âme avec qui vous avez déjà vécu le soutien mutuel, vécu la confiance et traversé des épreuves laisse un acquis qui se réveille presque instantanément au moment de la rencontre, une forme de qualité émergente céleste de la relation, qui nous attire à la faire s’enraciner pour devenir terrestre.
Bien souvent, avec ces êtres, le sens des l’odorat vous signifiera son attirance pour les fragrances corporelles car vous « sentez » littéralement la personne, alors que parfois, vous ne la sentez pas.

L’harmonie, une qualité émergente de la relation plutôt qu’une étiquette

Auriez-vous déjà vécu la disharmonie sur le plan sexuel avec un partenaire, alors qu’avec un autre vous avez connu l’abandon à la volupté ? C’est pourquoi il est totalement absurde de penser que telle personne est un « bon coup ». Il est évident que, comme en musique, une personne qui aura un langage sensuel plus vaste sera mieux équipée pour vivre de plus belles relations intimes.
Avec vous, cette personne peut avoir un acquis et une intention qui a magnifié la relation alors qu’avec telle autre personne, pas du tout. En amour comme en matière de sexualité, l’harmonie n’est pas une qualité intrinsèque à une personne mais une qualité émergente entre deux êtres.

C’est sans doute troublant car cela requestionne notre jugement sur nous-même, ou sur d’autres partenaires du passé. Et sans nul doute, c’est une vision plus juste, pour (nous) libérer des étiquettes qui un jour ont peut-être été collées trop intimement – égoïste, frigide, impulsif, nympho, timide, inhibé(e), rustre, sauvage - autant de qualificatifs qui peuvent nous marquer au fer rouge trop longtemps, surtout s’ils sont prononcés quand nous étions à nu, sans protection, nous tatouant des croyances lourdes sur nous-mêmes peu porteuses.



Un cadre sécurisant

Revenons à notre union des corps. Parfois, faire l’amour dure cinq minutes. Parfois une heure. Parfois plus. Mais pour goûter aux bonnes choses, il faut prendre le temps, donc nous aborderons les rencontres qui se vivent avec un cadre qui permet de révèler cette noblesse du sacré.

Quelles seraient les composantes d’un cadre sécurisant ?

C’est très simple, tout ce qui nous ferme (et crispe nos chakras) est à proscrire. Ceux qui ont peur du regard des autres apprécieront la pénombre, ceux qui ont peur de manquer de temps désireront d’y consacrer un moment sans crispation, ceux qui sont sensibles aux odeurs ou à la propreté seront particulièrement sensibles à l’hygiène avant la rencontre. Ceux qui sont délicats désireront éviter la brusquerie. Ceux qui sont sensibles à l’engagement apprécieront que la rencontre intime soit le prolongement de l’engagement et pas juste une parenthèse.
Ici comme ailleurs, le dialogue et le respect seront des clefs pour ouvrir les corps, les coeurs, les âmes. Car tout ceci permet d’installer la sécurité intérieure chez les partenaires. Et elle, vous ne la trouverez pas au supermarché ! Elle demande un travail exigeant sur soimême et un grand respect de l’autre.
Il n’est pas inutile de nous questionner intérieurement pour savoir si nous avons créé les meilleures conditions pour ce cadre. Car encore trop de femmes exposent - dans leurs consultations auprès des professionnels de la santé et de la sexualité – leur sentiment d’insécurité dans le vécu de leur sexualité. Iriez-vous cueillir une rose magnifique avec une fourche en débarquant dans le jardin de façon tonitruante ?



Activer l’ascenseur du plaisir

Toute la phase de la rencontre avant le moment de la pénétration ou de l’orgasme par divers jeux et contacts sexuels est souvent une phase primordiale, car notre énergie sexuelle, logée dans un réservoir sacré, s’active lorsque nous sommes dans l’être, c’est-à-dire se sentir en sécurité, accueilli pleinement, aimé, en confiance. De simples mots qui sont pourtant des qualités de relations authentiques. Dans cet état d’être, l’énergie sexuelle peut se réveiller, s’élever et se déployer dans son ampleur dans le canal (le « shushuna ») avec la réjouissance du toucher, de l’accueil de l’autre, du vécu du plaisir avec le toucher.

Toute cette phase de rencontre est à la fois une phase d’écoute du corps de l’autre, une phase où l’on débranche son mental pour entrer dans le monde des sensations. Et pour activer les sensations, rien de tel qu’un délicieux massage, avec de l’huile parfumée aux huiles essentielles par exemple, ou se caresser avec les cheveux ou une plume, ou de laisser une musique guider nos ondulations et nos caresses… Chacun a ses préférences, son imaginaire et … C’est la phase qui permet d’activer la connexion avec nos millions de récepteurs sensoriels, de laisser nos hormones du plaisir nous inonder, c’est la phase où chacun apprivoise l’autre, et accueille ce qui est, le vécu de la dernière journée, les tensions musculaires, le relâchement de la tristesse de l’absence ou juste s’enivrer des retrouvailles tant désirées. C’est aussi une phase de rééquilibrage des deux parties de notre système nerveux ; le para- et l’orthosympathique doivent s’équilibrer pour permettre à la physiologie de la sexualité de se déployer (irrigation des corps caverneux chez l’homme et de la femme, par exemple).

Inutile donc de précipiter l’ébat car sans élan, on ne saute pas loin ! L’adage « plus c’est long plus c’est bon » trouve ici une raison d’être. Ensuite, selon le degré de compatibilité des deux personnes et leur niveau d’évolution spirituelle, l’union des énergies sexuelles pendant l’acte sera plus ou moins puissante.
Sans accueillir notre animalité, peu de magie. Car accueillir notre animalité, c’est être sans jugement sur le besoin physiologique de la sexualité, sur la puissance de cette énergie, sur notre corps, sur les odeurs, les formes des corps, etc.
Accueillir notre animalité - et celle de l’autre - c’est aussi accueillir cette énergie sexuelle dans son ampleur et non pas chercher à la contrôler et à la limiter à un mode de prescription de pharmacien (juste une cuillère à café, par exemple).
Osez-vous votre animalité sans retenue ?
Osez-vous accueillir et laisser jaillir et être ceci en vous ? Vous sentez-vous accueilli dans cette dimension par votre partenaire ?
La plupart des témoignages illustrent qu’oser exprimer cette animalité sans retenue n’est pas encore fréquent. Il s‘agit de sortir du vieux paradoxe qui voudrait automatiquement associer sensualité animale et brusquerie, violence.
Au contraire, affinée, cette sensualité animale s’exprime avec délicatesse, avec bienveillance, elle se dilate. Vous pouvez par exemple avoir envie de croquer l’autre comme un lion tant le désir vous inonde sans toutefois avoir un picogramme de violence à son égard. C’est accepter de s’abandonner à cette facette « brute » du plaisir, qui va se raffiner avec l’acte.

Nos chakras ou centres d’énergie, une fameuse raffinerie !

A mesure que la rencontre des corps se crée, nos chakras, avec la pénétration, vont unir leurs énergies. L’union de l’énergie féminine et masculine recrée une magie sacrée, une complémentarité, qui nous élève, nous nourrit. C’est une grande célébration de l’incarnation, la terre et le ciel s’unissent dans cette pratique en nous – en unissant les âmes et les corps -, en parallèle de l’union entre le féminin et le masculin. Une alchimie qui mérite le respect, qui se célèbre en conscience d’être vivant, très très vivant même ! Cette alchimie va associer au plaisir sensoriel le plaisir émotionnel, et magnifier la sensation de reliance. Unir corps et esprit, pour sortir de la stricte « génitalité » est une des principales clés d’une sexualité plus raffinée.

Au plus chaque partenaire aura des chakras rayonnants et forts (c’est-à-dire chez une personne enracinée, sans peur, ayant délaissé les jeux de pouvoirs, rayonnante, dans le coeur, cohérente, installée dans le sens de sa vie, etc), au plus les âmes s’aimeront (et les chakras seront donc nourris d’amour et seront compatibles), meilleure sera la libre circulation de l’énergie sexuelle dans le « shushuna », au plus l’énergie sexuelle va s’y déployer durant l’acte d’amour. C’est comme si la tension et l’ampérage de l’électricité en nous se multipliaient par cinq, par dix, par cent ou plus encore. Il y a comme un état de transe qui peut s’installer car il y a une forme d’abandon à cette force qui vient même créer un état altéré de conscience. Sensoriellement, il y a la perception que la colonne vertébrale gonfle et chauffe. En réalité nos vertèbres ne se dilatent pas mais bien notre canal (ou « shushuna »). Et si parfois des points de douleur dans la colonne se font sentir, c’est aussi un témoignage que notre canal d’énergie est encombré et que l’énergie sexuelle ne peut pas s’y déployer pleinement.

La maîtrise de l’éjaculation, une compétence bien utile

Le yang est par nature vif, puissant, éphémère. Ainsi en est-il de la nature sexuelle masculine. Le yin, lui, a besoin de temps pour se déployer, a besoin de stimulation, mais dure plus longtemps. Ainsi pourrait-on décrire la nature sexuelle féminine. C’est pourquoi les femmes ont souvent besoin d’un moment qui dure au delà de 2 minutes. Pour y arriver, faire prolonger le partage et faire monter les 10 000 Volts dans le canal, rien de tel que de maîtriser la tension sexuelle et l’éjaculation, pour la retarder et ainsi rester dans le plaisir émotionnel et sensoriel sans tomber inévitablement dans la phase « réfractaire » que « Masters et Johnson » ont décrit dans leur fameux rapport « Human Sexual Response » dès 1966. Gérard Leleu, sexologue français et auteur généreux sur la thématique, en enseigne dans ses ouvrages plusieurs voies pour y parvenir.



L’orgasme, un fameux feu d’artifice

Et lorsque les caresses, l’amour, le mouvement, le désir nous inondent, l’orgasme peut venir comme une vague s’élever dans le canal pour laisser le plaisir se déployer dans la colonne vertébrale, atteindre notre cerveau et inonder notre cerveau d’un plaisir intense et de lumière et même provoquer un état de conscience élargi. Tout le corps est dans le plaisir, et pas uniquement les organes génitaux. Même les pieds sont saturés d’énergie, par cette inondation du « shushuna » (d’où l’expression prendre son pied).
L’analogie avec la magie du feu d’artifice a toute sa place. Le feu de l’acte déclenche la poudre qui propulse le tout comme une fusée et vient éclater derrière nos yeux, inondant notre vision interne de cette belle lumière.
L’orgasme, lorsqu’il n’est pas strictement restreint à la zone génitale mais au contraire peut se déployer dans le canal et s’élever, est décrit par de nombreuses personnes éveillées, mystiques, praticiens du tantrisme, comme une expérience vraiment divine qui abolit la sensation de séparation que nous vivons pour la plupart dans notre quotidien de personnalité, qui nous emplit de félicité, nous donne le sentiment d’union au tout et nous donne un sentiment d’amour débordant. Certains expriment également que l’orgasme est une forme d’illumination temporaire, issue de la connexion avec le Soi profond. Dans cette perspective, l’extase provoquée par l’orgasme est une connexion au Divin et chacun pourra mieux comprendre pourquoi certaines religions ont voulu contrôler outrageusement la sexualité et lui associer toutes sortes de lourdeurs (caractère sale, culpabilité, etc) afin de mettre sur les fidèles un couvercle de casserole et éviter qu’ils ne goûtent à une forme d’illumination. Infâme stratagème d’un besoin de pouvoir sur le peuple qui a fonctionné durant des siècles en polluant les êtres de jugements sur cette magnifique énergie.

Avant, pendant et après : rien n’est inutile.

Une fois que les braises ont atteint leur acmé, il y a aussi le plaisir de laisser le feu redescendre, de vivre cet état d’être plus calme, le mental débranché, les corps repus, transpirants, cherchant le repos. Un moment très propice où l’on est intensément connecté à l’autre par le ressenti à l’issue de ce beau mélange qu’a été le coït, à se laisser porter par une autre longueur d’onde, celle de l’harmonie, permettant par une connexion télépathique de prolonger le moment d’union qui s’est vécu. C’est le temps de la transition, vers le sommeil, vers d’autres occupations, vers un retour à notre individualité. Un temps aussi qui se savoure comme une bonne boisson (alcoolisée ou non) après un très bon repas.
Et dans les heures qui prolongent cette rencontre, il est même amusant de sentir à quel point chacun transporte l’énergie de l’autre tant on s’est mélangé en faisant l’amour. C’est ça aussi le partage et la magie de la rencontre intime.

Des nuits longues encore

Vivre une sexualité sacrée est un chemin de vie, demande beaucoup d’humilité et de communication car la sexualité nous ramène à nos blessures, car la sexualité met aussi notre personnalité à nu, avec sa lumière, avec son ombre. Toute pratique qui stimule l’amour, le respect, l’ancrage (et donc renforce les chakras) sera un vecteur bénéfique pour entrer dans une dimension d’amour plus intense, plus sacrée.
Les vacances sont une période propice à la célébration de l’amour. Changement d’habitudes, corps embellis par l’astre solaire, légèreté de nos tenues. Profitons encore que le temps se dilate en vacances pour faire l’amour divinement et célébrer à deux - loin du kitsch des publicités ou du cinéma « box office » – l’Eros sacré dans la douceur du sable, de l’herbe et des couettes.

Raphaël Dugailliez
Sexothérapeute

BIBLIOGRAPHIE :
La sexualité humaine, B.LAngis et P.Germain, De Boeck édition. William.H. Masters, Virginia. E. Johnson, Human Sexual Response, Little, Brown and Co, 1966
Sexualité, la voie sacrée, Gérard Leleu, Albin Michel, 2004.
Le nouveau traité des caresses, Gérard Leleu, Albin Michel, 2014.
Sexualité et reproduction à la lumière de la science de l’esprit, Misha Kniazeff et Lucio Russo, Editions Tournant



Paru dans l'Agenda Plus N° 269 de Juillet 2015
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